Histoire inspirée de Farrel

Catégories : FANTASME
il y a 10 ans
Petit extrait d'une série inspirée de notre maître à tous pour la situation, et d'un dessin de Joseph Farrel pour le procédé.

... Sophie a dix-huit ans et une poitrine exceptionnelle. Deux gros melons drus et fermes de cinq livres pièce, lourds, volumineux, qui l'entraînent en avant et l'obligent à se tenir très cambrée. Cette posture met en valeur son postérieur rebondi, l'ensemble excite les passions de tous les mâles.

Choisie pour ses tétons avantageux sommés d’une vaste aréole et de gros mamelons, Sophie a, dès son dépucelage du cul été soumise plusieurs jours consécutifs à un traitement particulier. L'évêque lui a transpercé chaque sein de part en part d'une aiguille rougie au feu pour cautériser à mesure. Il a ainsi pratiqué trois percements dans chaque mamelle, non sans jouir de l'anus de sa victime à chaque fois : un latéral, un vertical et un horizontal.

Ce dernier pénétrant depuis le mamelon tout droit dans le sein jusqu'aux côtes. Il a ensuite inséré dans chaque orifice ainsi pratiqué une mince tige de fer pour éviter que la cicatrisation ne referme les chairs. Les tiges ont été maniées quotidiennement, enduites de crème cicatrisante, ôtées et remises jusqu'à ce que les orifices soient permanents. Il a ensuite procédé à leur dilatation à l'aide de tiges métalliques un peu plus grosses et lourdes. Ces poids inoportuns et la douleur sourde des chairs dilatées rendaient Sophie extrêmement agréable à enculer durant cette période, et il fallu même punir des fouteurs subalternes qui avaient tenté de la soumettre à leurs plaisirs.

Et puis l'évêque a utilisé des baguettes encore plus grosses, un pouce de tour environ, et Sophie gémissait tout le jour sous le poids des tiges et leur grosseur. Alors l'évêque l'estima prête.

Sophie à genoux mains liées dans le dos le cou pris d'un collier attaché au plafond. Ses seins sont ligaturés à la base d'une chaîne à picots, les orifices sont aplatis par le gonflement des chairs. Les ligatures sont très serrées, du sa...ng dégoutte lentement des chaînes et coule jusqu'à sa vulve et ses cuisses. Deux cordelettes très courtes relient les ligatures à des hameçons plantés aux coins de ses lèvres, la contraignant à garder les yeux fixés sur sa poitrine et ne rien perdre du spectacle de ses souffrances.

L'évêque s'avance, claque fortement les mamelles, passe sa bite dans la bouche ouverte par la suffocation. Passant derrière Sophie il la sodomise, pince fortement un mamelon dilaté et tire progressivement dessus en le claquant de l'autre main. Enculant toujours il passe à l'autre mamelon qu'il tire de même et frappe le sein distendu d'un martinet de cuir. Bien échauffé il décule et repasse devant la victime.

Il attrape un téton à pleines mains, présente sa bite à l'orifice pratiqué dans le mamelon et pousse. La bite pénètre, il tire sur le mamelon qui vient enserrer son membre, il pousse sa bite dans la mamelle, tire encore sur le mamelon et fini par s'engloutir en entier dans ce sein voluptueux. Alors il fait ligaturer le mamelon à la base de sa queue, plusieurs tours pas trop serrés sur toute la longueur du tétin, et il baise le sein de Sophie en le malaxant à pleines mains. Troisième ligature au milieu du sein, jusqu'à ce qu'il la sente au bout de sa queue à travers les chairs. Il va et vient à travers ce resserrement comme dans un anus de pucelle. Une aiguille transperce les deux joues de Sophie et le fait jouir dans ce réceptacle inédit inconnu des notaires.

Durcet, Curval et le Duc sont ravis de la surprise et de la nouveauté du procédé. Tous veulent s'y essayer et les voilà bientôt tous quatre le vit enfoncé jusqu'aux couilles dans la somptueuse poitrine de Sophie, deux dans chaque téton, un de face et le second de profil. Les saccades imprimées aux seins délicats incrustent les chaînes dans les chairs. Des mains brutales malaxent les mamelles en tous sens, les amis changent de place plusieurs fois ce qui donne lieu à la dépose et la remise en place des ligatures des mamelons. Sophie fini par s'évanouir de douleur à la brutale décharge du Duc. Curval et Durcet finissent tranquillement leur affaire pendant que le Duc réveille Sophie en lui enfonçant de courtes épingles dans le cul.

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